Par rapport à la première version, on assiste ici à un resserrement intense de la composition. Plus de gestes inutiles, plus d'éparpillement élégant des personnages : ils sont tous regroupés autour du corps du mort et font face à leur douleur.
Les couleurs vives et lumineuses en 1628 sont devenues, 30 ans plus tard, sombres et profondes, ajoutant à l'intensité de l'émotion.