La petite famille prépara un pique-nique pour partir dans la colline. Ils quittèrent la maison de bonne heure et commencèrent à marcher en directions des souvenirs de Jacques. Petit à petit, ils laissaient derrière eux les rumeurs de la ville, la pollution et les odeurs des gaz díéchappement. Ils síenfonçaient peu à peu dans le silence et la fraîcheur. Les odeurs de garrigue, du thym et du romarin parfumaient líair quíils respiraient enfin.